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- La Marche des Enfants du Vexin, du 5 septembre 2021
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Décembre 2023 : Conférence Coucou les Oiseaux !
” À notre demande, Étienne PIECHAUD travaille depuis plus de deux ans sur le territoire où aurait été creusée la carrière… Il vient selon les saisons une ou plusieurs fois par mois observer tout ce qui se passe sur cette centaine d’hectares, paysage typique du Vexin.
Au départ, il s’agissait pour nous de financer une étude susceptible de contrer l’industriel dans nos recours juridiques. Nous l’avons fait aussi pour l’étude de bruit. Là, nous soupçonnions une richesse de la faune et de la flore délibérément ignorée. Même si le projet de carrière est définitivement abandonné, l”étude a paru si riche que nous avons eu envie de la prolonger pendant 4 ans en tout, pour voir comme avec une loupe ce qui se passe sur cette petite portion de territoire, avec ses champs, ses chemins, ses oiseaux, ses insectes, ses lisières de bois, ses haies etc.( voir le 1er rapport en pj si vous le l’avez déjà lu ))
À le suivre, chacun apprendra beaucoup de choses sur cette nature qui nous entoure ! Rendez-vous donc le 1er décembre dans le Village de Brueil-en-Vexin. L’entrée sera libre et on prendra un pot à la fin…..
Presque dix ans de lutte et une victoire pas encore complète, ça se savoure avec les oiseaux, les haies, les saisons, non?
Suite de l’affaire des carrières…Rien de nouveau concernant le remblaiement de la carrière de Guitrancourt. La semaine dernière, le sous-préfet a provoqué une réunion à ce propos avec tous les élus concernés, aucun écho. Il faut attendre l’arrêté préfectoral de prolongation de l’autorisation d’exploiter. Vigilance, donc. On n’oublie pas que la Zone 109 existe toujours et représente une menace potentielle.
Septembre 2023 : FRANCE 3 Île de France / Carrière Calcia : le ton monte entre les maires et l’industriel
” Ils ne veulent pas d’un ballet de camions sous leurs fenêtres. Les riverains de l’ancienne carrière de Guitrancourt, dans les Yvelines, demandent à Calcia de revoir sa copie. Le cimentier a prévu de remblayer le site mais il veut acheminer la terre nécessaire par la route. Associations et élus plaident pour une autre solution. “
Septembre 2023 : Carrière de Guitrancourt – le public récuse son remblaiement par camions
Septembre 2023 : La Position du député du Mantois-Vexin Benjamin Lucas
Septembre 2023 : Mme Ghislaine SENÉE, élu au Sénat, le 23 Septembre
Communiqué AVL3C du 11 Août 2023 :
Remise en état de la carrière de Guitrancourt de Heidelberg Matérials – CALCIA
Le 10 Août 2023 s’est ouverte une consultation du public seulement par voie électronique, et seulement jusqu’au 24 Août, sur le projet de remise en état de la carrière de Guitrancourt. (1)
Nous voulons partager avec vous nos premières réflexions :
1/ Une consultation en plein mois d’août… Sans commentaires !
Le remblaiement de la carrière de Guitrancourt aurait dû être effectif fin 2022.
La réhabilitation du site (arrêté préfectoral du 16 août 2011) prévoit, 74 ha d’espaces agricoles, 28 ha de boisements, un réseau de fossés, deux étangs, un chemin rural…
Et nous voici encore devant un «trou» et une demande de prolongation jusqu’en décembre 2025 !
2/ Sur le comblement de la carrière :
La carrière va donc être remblayée avec des « déblais inertes » de diverses provenances.
Solution (très) rentable pour l’industriel mais non sans risques : nous avons tous en mémoire l’affaire de la pyrite à St Martin-La-Garenne (2) Toutes les leçons ont-elles été tirées de la défaillance des contrôles lors de la livraison à la société Lafarge de terres qualifiées à tort d’« inertes » provenant du chantier du RER E ? Calcia assure que ses déblais seront étroitement contrôlés. Par un organisme agréé indépendant ?
Les apports devaient être constitués de roches naturelles excavées inertes en provenance du Centre d’Enfouissement Technique de la société EMTA mitoyen à la carrière.
Or, cette dernière est dans l’incapacité de fournir les volumes manquants (1 163 000m3), selon Calcia.
Pourquoi tout ceci n’a pas été anticipé ?
3/ Sur les circulations de déblais :
Ces déblais arriveront dans le secteur pour moitié par voie fluviale et routière, et pour l’autre moitié par l’autoroute (indications Calcia).
Les routes qui devront supporter ce surcroît de trafic :
*venant de l’A13 Paris : sortie 10 Gargenville, pont de Rangiport, RD 130, puis RD 190 (est)
*Venant de l’A13 province : sortie 11 Mantes la Jolie, rocade de Limay, RD 983 et RD 190 (ouest)
*venant de la voie fluviale, via le port de Limay : RD 146, RD 145 et RD 190 (ouest).
A noter que Calcia indique que « ce flux devra réaliser 3km500 par camion sur des voies publiques ». Mais jusqu’aux points de déchargement, il y a en réalité 6km300 du port autonome de Limay-Porcheville à la carrière….
Tous ces déblais parviendront par poids-lourds à Guitrancourt, soit un total de 155.068 camions (la moitié à charge et la moitié à vide au retour).Autrement dit, pendant 34 mois, un camion entrera ou sortira de chez Calcia à Issou toutes les trois minutes.
Il est évident que cette noria de poids lourds entrainera des émissions de CO2 importantes.
Ce qui est regrettable de la part d’une entreprise qui se dit responsable en matière d’émission de gaz à effet de serre.
Enfin, il faudra un contrôle sérieux de la qualité paysagère de l’opération remblai, jusqu’à quel niveau, etc…
4/ Quid du tunnel de la carrière à l’usine ?
Ce tunnel, très ancien, permettait de convoyer sur 2km500 le calcaire concassé de Guitrancourt jusqu’à la cimenterie. L’hypothèse de l’utiliser dans l’autre sens pour remonter des matériaux depuis l’usine a été émise, puis abandonnée.
Ce tunnel n’a plus d’utilité, il doit donc être remblayé sur toute sa longueur, car de nombreuses maisons ont été construites sur son parcours (commune de Gargenville).
Conclusion :
Ce que nous exprimons ici, ce n’est pas une opposition à la réhabilitation de la carrière de Guitrancourt. Mais, vu les enjeux, vu les errements de l’industriel, il nous semble absolument nécessaire que les habitants et les élus du secteur suivent ce dossier de très près durant trois ans, en commençant par s’exprimer lors de cette consultation publique.
Merci à tous. À suivre !
AVL3C
(1) https://www.yvelines.gouv.fr/Publications/Consultation-du-public
Voir le dossier de « porter à connaissance »
https://www.yvelines.gouv.fr/contenu/telechargement/30347/195319/file/2022-%20Porter%20à%20connaissance%20-%20Carrière%20Guitrancourt%20Ciments%20Calcia%20.pdf
« Des observations et propositions peuvent être formulées par courriel du 10 août 2023 au 24 août 2023 inclus à l’adresse suivante :
driee-consultation-environnementale@developpement-durable.gouv.fr
Juin 2023 : Assemblée Générale • Interventions de Benjamin Lucas & Agnès Lanthier
Juin 2023 : Assemblée Générale • Intervention de Guy Muller
Juin 2023 : Assemblée Générale • Synthèse Juridique
Juin 2023 : Assemblée Générale • Prévisionnel
Juin 2023 :Assemblée Générale • Rapport Financier
Mars 2023 :
Janvier 2023 :
Novembre 2022 :
Vous pouvez également télécharger cette étude à cette adresse…
Septembre 2022 :
Mai 2022 :
Avril 2022 :
Après 22 ans de procédures, le cimentier Calcia renonce aux carrières dans le Vexin
Le cimentier met fin à l’ambigüité en annonçant «ne pas mener à bien» le projet de carrières dans ce parc naturel régional à cheval entre les Yvelines et le Val-d’Oise. C’en est donc définitivement fini de ce dossier lancé en 2000.
C’en est donc définitivement terminé des carrières à ciment dans le Vexin. Le dossier, qui aura mobilisé des centaines d’élus, d’habitants, de préfets et d’avocats pendant 22 ans, est officiellement abandonné. « Nous avons décidé de ne pas mener à bien ce projet », a confirmé, jeudi matin, une source proche de la direction de Calcia. Cette décision a également été transmise à la préfecture des Yvelines.
Par cette déclaration laconique, le cimentier clarifie enfin sa position, après plusieurs mois d’ambiguïté. En novembre 2020, il avait d’abord annoncé l’abandon de son programme. Les riverains criaient alors à la victoire. Mais quelques mois plus tard, il alimentait les rumeurs par des déclarations floues. Une petite phrase avait notamment relancé les spéculations : « Aujourd’hui, il y a un renoncement à l’exploitation en raison des nombreux recours intentés. Une fois ces recours purgés, nous verrons», déclarait notamment un porte-parole de Calcia en mai 2021.
Les recours ont été purgés le 1er avril dernier et cette fois, les choses sont claires. Calcia met ainsi un point final à un projet officiellement lancé en 2000.
Depuis les années 1990, l’entreprise est confrontée à un problème d’approvisionnement sur le long terme : ses réserves en ciment autour de Limay diminuent et il lui faut trouver d’autres « gisements » pour alimenter son usine de Gargenville.
Des sondages sont menés et finalement un secteur est déterminé, dans le nord des Yvelines, au coeur du parc du Vexin. Le 5 juin 2000, l’Etat publie un décret autorisant l’exploitation de «matériaux calcaires » dans la « zone 109 », soient 551 hectares sur Brueil-en-Vexin, Fontenay-Saint-Père, Guitrancourt et Sailly.
En 2015, puis en 2018, le projet est qualifié d’intérêt général. Le gouvernement appuie les démarches et désormais, plus rien ne s’oppose à sa réalisation. Dans le même temps, les associations locales, représentant des centaines de riverains, se mobilisent pour dénoncer les conséquences environnementales de cette décision. Les élus suivent. L’opposition s’organise. Le face-à-face se tend.
Et c’est finalement Calcia qui se sabordera toute seule, par une gaffe de communication assez désastreuse : fin 2019, alors que l’entreprise vient tout juste d’obtenir le soutien du préfet Jean-Jacques Brot et de Pierre Bédier, le président (LR) du conseil départemental, son nouveau directeur annonce…le départ de son siège de Guerville vers les Hauts-de-Seine. Les deux hommes le prennent mal : pour eux, les nuisances restent dans les Yvelines, les richesses s’expatrient vers la Petite-couronne. S’estimant trahi, Pierre Bédier promet de torpiller le projet de carrières.
Ces dernières semaines, d’autres élus étaient montés au créneau. Dans un courrier commun, les députés Bruno Millienne (MoDem, 9ème circonscription), Michèle De Vaucouleurs (LREM, 7ème) et Michel Vialay (LR, 8ème) avaient demandé à la ministre de l’EnvironnementBarbara Pompili d’abroger le décret de juin 2000. La ministre n’a pas encore répondu et il conviendra à son successeur d’apposer la précieuse signature.
Calcia n’a pas souhaité communiqué d’avantage sur les raisons de ce revirement qui interroge. Les chantiers du Grand-Paris et ceux liés aux JO de 2024 nécessitent du ciment. Produire à Gargenville aurait épargné des importations forcément coûteuses et émettrices de carbone. «Cette décision intervient dans un contexte international tendu où l’on a pris conscience d’avoir un pays indépendant au niveau des matières premières, c’est donc surprenant, analyse Yann Perron, maire (DVD) de Gargenville. Pour ma commune, je suis assez mitigé. Certes, pour l’environnement, c’est une bonne nouvelle. Mais la fin des carrières, c’est aussi une unité de production qui devrait partir. Le développement de Gargenville s’est fait grâce au développement industriel. »
Article par Mehdi Gherdane et Marie Persidat pour Le Parisien
Mars 2022 :
Novembre 2021 :
Septembre 2021 :
Mars 2021 :
Décembre 2020 :
La Bataille de Saint-Laurent, 20-28 août 1994
BRUNO RENOULT, auteur de “la bataille du vexin 1944” (2004)
Novembre 2020 :
Reportage de France 3 Île-de-France du 25 Novembre
Tourné le 24 novembre 2020 à la ferme saint-laurent
En présence de Dominique Pelegrin, présidente de l’Association AVL3C-Vexin Zone 109, de Martine Tellier, actuelle mairesse de Brueil-en-Vexin, de Gérard Béguin, maire de Sailly, et Bruno Caffin, ancien maire de Brueil-en-Vexin et ex vice-président du PNRVF.
Calcia abandonne son projet de carrières
Article paru le 18/11/2020 dans le parisien
Message de Bruno CAFFIN aux adhérents de l’AVL3C
Bruno caffin, 19 novembre 2020
Octobre 2020 :
Yannick Jadot au soutien de l’AVL3C, pour un documentaire bientôt diffusé sur FRANCE 5.
Article du Courrier de mantes du 21 Oct. en page 21
Le Conseil de Paris renouvelle son vœu CONTRE les carrières Heidelbergcement-Calcia dans le PNRVF
Danielle SIMMONET
Le Prieuré Saint-Laurent, témoignage de l’Histoire, et qualité architecturale…
notice résumée de catherine luuyt, oct. 2020
Il reste peu de choses à voir de ce prieuré, haut lieu de la fondation du Vexin, mais suffisamment pour que tout soit mis en œuvre pour le préserver.
Texte : CL / Crédit photos : © VM
L’emplacement et le point de vue
Un des points les plus élevés des coteaux bordant la rive droite de la Seine.(cote altimétrique 176), Vue ouverte au Nord-Ouest jusqu’aux confins de la forêt d’Arthies, au Nord jusqu’aux reliefs entourant Pontoise, vers l’Est aux limites de Meulan. Au revers du coteau, vers le Sud, les villages de Juziers et Issou, riches de vignes à l’époque de la fondation. Outre la beauté du site, on comprend sa valeur stratégique – surveillance du territoire – et sa richesse, à une époque où les revenus étaient ceux de la terre (limons profonds recouvrant argile et calcaire, versants crayeux de la Seine pour la vigne) dans un contexte de conflits constants entre seigneurs rivaux après le partage entre Vexin français rattaché au roi de France et Vexin normand rattaché à Rolon et, par lui, au souverain d’Angleterre.
Le témoignage de l’histoire
Le prieuré Saint Laurent est nommé en 1118 à propos d’une bataille dans laquelle était engagé Guy de La Roche Guyon qui lui venait en soutien. La fondation du prieuré s’est faite sur des terres du seigneur de Luzarches et a bénéficié de nombreuses donations au fil du XII°S, confirmées par une bulle du pape Eugène III en 1147. Le cartulaire de l’abbaye de Josaphat (vallée de Lèves près de Chartres ) fait état de décrets confirmant la franchise du prieuré. A l’époque où l’organisation du travail de la terre et la redistribution des revenus constituent les fondements de la société, cette reconnaissance de franchise est à la fois la garantie et la reconnaissance d’une vraie puissance.
Les prieurés sont nombreux sur ce territoire. Juziers et Fontenay saint Père rattachés à l’abbaye de Saint Père en vallée,fondés en 978. Brueil. Plus tard, Montcient Fontaine près de Sailly fondé vers 1182.(actuel golf du prieuré). Après la guerre de cent ans, les ordres religieux sont très fragilisés, les puissances se redistribuent. Le prieuré Saint Laurent voit son sort lié à celui de Montcient Fontaine. Il est rattaché à la Croix Saint Leufroy. En 1791, ses biens sont vendus. Un épisode marquant de la bataille du Vexin, se déroule sur ses terres en Août 1944.
La qualité architecturale
La construction serait réalisée entre les années 1120 et 1150.
C’est purement le style transition.
Les éléments remarquables en sont : – les colonnes engagées visibles sur la façade extérieure de l’église et à l’intérieur de cette église. – L’abside où subsistent trois baies disposées dans l’arrondi du chœur et bordées de colonnettes romanes. On reconnaît le dessin des églises romanes du Poitou.
On connaît des chapiteaux, démontés pour réemploi, tout à fait remarquables.
Dans ses Statistiques de l’arrondissement de Mantes,(1833) le préfet Armand Cassan disait son émotion en découvrant cet édifice :
« La commune de Brueil-en-Vexin offre deux monuments rares et précieux; le caveau druidique dont j’ai déjà parlé avec détail”, et la ruine du couvent de Saint Laurent, fondé au XII° ou au XIII° siècle, sous Louis VII ou sous Louis VIII, et cité en 1252 sous le nom de Saint-Laurent-la-Garenne par Eudes Rigaud, dans le registre de ses visites. De l’église du couvent, le chœur et une grande ogive seulement ont survécu ; l’artiste qui visite cette magnifique ruine l’admire et ne peut la quitter »
À cette évocation de la qualité de la construction et du charme qui en subsiste, Il faudrait ajouter le témoignage qu’il représente pour le développement de cette part du Vexin, pacification, développement agricole et rayonnement culturel.
Septembre 2020 :
” Avec moi, les carrières, c’est niet! “
BenjaMin DEMAILLY – Président du PNRVF
La Marche des Enfants du Vexin :
Mai 2020 :
Pour alimenter en béton le chantier du Grand Paris, Calcia-Heidelberg, géant mondial du ciment, projette de creuser une gigantesque carrière de calcaire dans le Vexin. Quitte à défigurer l’un des plus beaux paysages d’Ile-de-France ? Le maire et les habitants de Brueil-en-Vexin ont montré aux journalistes de “Pièces à conviction” les dégâts environnementaux que cela pourrait provoquer.
PIÈCES À CONVICTION – SUR FRANCETV.INFO
Mars 2020 :
Les Yvelines, un département plus écologiquement responsable
Le département des Yvelines a présenté ce vendredi, à Versailles, son premier bilan carbone !
Accompagné par des spécialistes de la stratégie bas carbone, le conseil départemental des Yvelines a évalué ses huit principales sources d’émission de gaz à effet de serre.
Et pour en savoir plus, nous étions à Versailles, avec le président du conseil départemental des Yvelines, Pierre Bédier.
Février 2020 :
Janvier 2020 :
Les Yvelines victimes d’une « trahison » de l’entreprise Calcia
et vice-président de l’association AVL3C-Vexin Zone 109.
Enregistrement du 3 Janvier 2020 de l’émission La Terre au Carré sur France Inter
Décembre 2019 :
Retrouvez la retranscription du clip ici !
Novembre 2019 :
Rétrospective 2017-2019 en Articles
Septembre 2019 :
Juillet 2019 :
L’article complet ici !