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Mars 2023 :

Janvier 2023 :

Novembre 2022 :

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Septembre 2022 :




Mai 2022 :

Avril 2022 :







Après 22 ans de procédures, le cimentier Calcia renonce aux carrières dans le Vexin
Le cimentier met fin à l’ambigüité en annonçant «ne pas mener à bien» le projet de carrières dans ce parc naturel régional à cheval entre les Yvelines et le Val-d’Oise. C’en est donc définitivement fini de ce dossier lancé en 2000.
C’en est donc définitivement terminé des carrières à ciment dans le Vexin. Le dossier, qui aura mobilisé des centaines d’élus, d’habitants, de préfets et d’avocats pendant 22 ans, est officiellement abandonné. « Nous avons décidé de ne pas mener à bien ce projet », a confirmé, jeudi matin, une source proche de la direction de Calcia. Cette décision a également été transmise à la préfecture des Yvelines.
Par cette déclaration laconique, le cimentier clarifie enfin sa position, après plusieurs mois d’ambiguïté. En novembre 2020, il avait d’abord annoncé l’abandon de son programme. Les riverains criaient alors à la victoire. Mais quelques mois plus tard, il alimentait les rumeurs par des déclarations floues. Une petite phrase avait notamment relancé les spéculations : « Aujourd’hui, il y a un renoncement à l’exploitation en raison des nombreux recours intentés. Une fois ces recours purgés, nous verrons», déclarait notamment un porte-parole de Calcia en mai 2021.
Les recours ont été purgés le 1er avril dernier et cette fois, les choses sont claires. Calcia met ainsi un point final à un projet officiellement lancé en 2000.
Depuis les années 1990, l’entreprise est confrontée à un problème d’approvisionnement sur le long terme : ses réserves en ciment autour de Limay diminuent et il lui faut trouver d’autres « gisements » pour alimenter son usine de Gargenville.
Des sondages sont menés et finalement un secteur est déterminé, dans le nord des Yvelines, au coeur du parc du Vexin. Le 5 juin 2000, l’Etat publie un décret autorisant l’exploitation de «matériaux calcaires » dans la « zone 109 », soient 551 hectares sur Brueil-en-Vexin, Fontenay-Saint-Père, Guitrancourt et Sailly.
En 2015, puis en 2018, le projet est qualifié d’intérêt général. Le gouvernement appuie les démarches et désormais, plus rien ne s’oppose à sa réalisation. Dans le même temps, les associations locales, représentant des centaines de riverains, se mobilisent pour dénoncer les conséquences environnementales de cette décision. Les élus suivent. L’opposition s’organise. Le face-à-face se tend.
Et c’est finalement Calcia qui se sabordera toute seule, par une gaffe de communication assez désastreuse : fin 2019, alors que l’entreprise vient tout juste d’obtenir le soutien du préfet Jean-Jacques Brot et de Pierre Bédier, le président (LR) du conseil départemental, son nouveau directeur annonce…le départ de son siège de Guerville vers les Hauts-de-Seine. Les deux hommes le prennent mal : pour eux, les nuisances restent dans les Yvelines, les richesses s’expatrient vers la Petite-couronne. S’estimant trahi, Pierre Bédier promet de torpiller le projet de carrières.
Ces dernières semaines, d’autres élus étaient montés au créneau. Dans un courrier commun, les députés Bruno Millienne (MoDem, 9ème circonscription), Michèle De Vaucouleurs (LREM, 7ème) et Michel Vialay (LR, 8ème) avaient demandé à la ministre de l’EnvironnementBarbara Pompili d’abroger le décret de juin 2000. La ministre n’a pas encore répondu et il conviendra à son successeur d’apposer la précieuse signature.
Calcia n’a pas souhaité communiqué d’avantage sur les raisons de ce revirement qui interroge. Les chantiers du Grand-Paris et ceux liés aux JO de 2024 nécessitent du ciment. Produire à Gargenville aurait épargné des importations forcément coûteuses et émettrices de carbone. «Cette décision intervient dans un contexte international tendu où l’on a pris conscience d’avoir un pays indépendant au niveau des matières premières, c’est donc surprenant, analyse Yann Perron, maire (DVD) de Gargenville. Pour ma commune, je suis assez mitigé. Certes, pour l’environnement, c’est une bonne nouvelle. Mais la fin des carrières, c’est aussi une unité de production qui devrait partir. Le développement de Gargenville s’est fait grâce au développement industriel. »
Article par Mehdi Gherdane et Marie Persidat pour Le Parisien


Mars 2022 :


Novembre 2021 :

Septembre 2021 :








Mars 2021 :



Décembre 2020 :
La Bataille de Saint-Laurent, 20-28 août 1994
BRUNO RENOULT, auteur de “la bataille du vexin 1944” (2004)

Novembre 2020 :
Reportage de France 3 Île-de-France du 25 Novembre
Tourné le 24 novembre 2020 à la ferme saint-laurent
En présence de Dominique Pelegrin, présidente de l’Association AVL3C-Vexin Zone 109, de Martine Tellier, actuelle mairesse de Brueil-en-Vexin, de Gérard Béguin, maire de Sailly, et Bruno Caffin, ancien maire de Brueil-en-Vexin et ex vice-président du PNRVF.
Calcia abandonne son projet de carrières
Article paru le 18/11/2020 dans le parisien





Message de Bruno CAFFIN aux adhérents de l’AVL3C
Bruno caffin, 19 novembre 2020







Octobre 2020 :
Yannick Jadot au soutien de l’AVL3C, pour un documentaire bientôt diffusé sur FRANCE 5.
Article du Courrier de mantes du 21 Oct. en page 21

Le Conseil de Paris renouvelle son vœu CONTRE les carrières Heidelbergcement-Calcia dans le PNRVF
Danielle SIMMONET
Le Prieuré Saint-Laurent, témoignage de l’Histoire, et qualité architecturale…
notice résumée de catherine luuyt, oct. 2020
Il reste peu de choses à voir de ce prieuré, haut lieu de la fondation du Vexin, mais suffisamment pour que tout soit mis en œuvre pour le préserver.
Texte : CL / Crédit photos : © VM

L’emplacement et le point de vue
Un des points les plus élevés des coteaux bordant la rive droite de la Seine.(cote altimétrique 176), Vue ouverte au Nord-Ouest jusqu’aux confins de la forêt d’Arthies, au Nord jusqu’aux reliefs entourant Pontoise, vers l’Est aux limites de Meulan. Au revers du coteau, vers le Sud, les villages de Juziers et Issou, riches de vignes à l’époque de la fondation. Outre la beauté du site, on comprend sa valeur stratégique – surveillance du territoire – et sa richesse, à une époque où les revenus étaient ceux de la terre (limons profonds recouvrant argile et calcaire, versants crayeux de la Seine pour la vigne) dans un contexte de conflits constants entre seigneurs rivaux après le partage entre Vexin français rattaché au roi de France et Vexin normand rattaché à Rolon et, par lui, au souverain d’Angleterre.
Le témoignage de l’histoire
Le prieuré Saint Laurent est nommé en 1118 à propos d’une bataille dans laquelle était engagé Guy de La Roche Guyon qui lui venait en soutien. La fondation du prieuré s’est faite sur des terres du seigneur de Luzarches et a bénéficié de nombreuses donations au fil du XII°S, confirmées par une bulle du pape Eugène III en 1147. Le cartulaire de l’abbaye de Josaphat (vallée de Lèves près de Chartres ) fait état de décrets confirmant la franchise du prieuré. A l’époque où l’organisation du travail de la terre et la redistribution des revenus constituent les fondements de la société, cette reconnaissance de franchise est à la fois la garantie et la reconnaissance d’une vraie puissance.
Les prieurés sont nombreux sur ce territoire. Juziers et Fontenay saint Père rattachés à l’abbaye de Saint Père en vallée,fondés en 978. Brueil. Plus tard, Montcient Fontaine près de Sailly fondé vers 1182.(actuel golf du prieuré). Après la guerre de cent ans, les ordres religieux sont très fragilisés, les puissances se redistribuent. Le prieuré Saint Laurent voit son sort lié à celui de Montcient Fontaine. Il est rattaché à la Croix Saint Leufroy. En 1791, ses biens sont vendus. Un épisode marquant de la bataille du Vexin, se déroule sur ses terres en Août 1944.


La qualité architecturale
La construction serait réalisée entre les années 1120 et 1150.
C’est purement le style transition.
Les éléments remarquables en sont : – les colonnes engagées visibles sur la façade extérieure de l’église et à l’intérieur de cette église. – L’abside où subsistent trois baies disposées dans l’arrondi du chœur et bordées de colonnettes romanes. On reconnaît le dessin des églises romanes du Poitou.
On connaît des chapiteaux, démontés pour réemploi, tout à fait remarquables.
Dans ses Statistiques de l’arrondissement de Mantes,(1833) le préfet Armand Cassan disait son émotion en découvrant cet édifice :
« La commune de Brueil-en-Vexin offre deux monuments rares et précieux; le caveau druidique dont j’ai déjà parlé avec détail”, et la ruine du couvent de Saint Laurent, fondé au XII° ou au XIII° siècle, sous Louis VII ou sous Louis VIII, et cité en 1252 sous le nom de Saint-Laurent-la-Garenne par Eudes Rigaud, dans le registre de ses visites. De l’église du couvent, le chœur et une grande ogive seulement ont survécu ; l’artiste qui visite cette magnifique ruine l’admire et ne peut la quitter »


À cette évocation de la qualité de la construction et du charme qui en subsiste, Il faudrait ajouter le témoignage qu’il représente pour le développement de cette part du Vexin, pacification, développement agricole et rayonnement culturel.
Septembre 2020 :
” Avec moi, les carrières, c’est niet! “
BenjaMin DEMAILLY – Président du PNRVF

La Marche des Enfants du Vexin :


Mai 2020 :
Pour alimenter en béton le chantier du Grand Paris, Calcia-Heidelberg, géant mondial du ciment, projette de creuser une gigantesque carrière de calcaire dans le Vexin. Quitte à défigurer l’un des plus beaux paysages d’Ile-de-France ? Le maire et les habitants de Brueil-en-Vexin ont montré aux journalistes de “Pièces à conviction” les dégâts environnementaux que cela pourrait provoquer.
PIÈCES À CONVICTION – SUR FRANCETV.INFO

Mars 2020 :

Les Yvelines, un département plus écologiquement responsable
Le département des Yvelines a présenté ce vendredi, à Versailles, son premier bilan carbone !
Accompagné par des spécialistes de la stratégie bas carbone, le conseil départemental des Yvelines a évalué ses huit principales sources d’émission de gaz à effet de serre.
Et pour en savoir plus, nous étions à Versailles, avec le président du conseil départemental des Yvelines, Pierre Bédier.
Février 2020 :


Janvier 2020 :














Les Yvelines victimes d’une « trahison » de l’entreprise Calcia
et vice-président de l’association AVL3C-Vexin Zone 109.
Enregistrement du 3 Janvier 2020 de l’émission La Terre au Carré sur France Inter
Décembre 2019 :






Retrouvez la retranscription du clip ici !
Novembre 2019 :

Rétrospective 2017-2019 en Articles


Septembre 2019 :
Juillet 2019 :
L’article complet ici !